Les Pin-ups de Décembre 2013
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Miss Décembre 2013 : Emily Bett Rickards dans Arrow – Saison 1
Arrow – Saison 1 (2013)
Née le 24 juillet 1991 à Vancouver, au Canada.
Emily Bett Rickards est une actrice canadienne. Elle est surtout connue pour son rôle de Felicity Smoak dans la série Arrow (2012-présent). Elle est née sur la côte ouest du Canada et, depuis son plus jeune âge, elle est attirée par le métier d’actrice. Après une initiation au théâtre musical et à la danse, elle termine tôt ses études en obtenant son diplôme et entre à la Vancouver Film School. Elle participe alors à des castings et obtient plusieurs petits rôles. Elle a également étudié à la Alida Vocal Studio à Vancouver.
Emily Rickards apparaît dans le clip du single de Nickelback « Never Gonna Be Alone » en 2008 et, après plusieurs rôles mineurs, elle est engagée pour le rôle de Felicity Smoak dans la série Arrow en 2012. Elle signe d’abord un contrat pour un épisode mais l’alchimie créée avec la star Stephen Amell et la réaction positive des fans lui permettent d’obtenir un rôle récurrent dans le reste de la première saison, puis un rôle principal dans la deuxième. Elle obtient ensuite le rôle de Lauren Phillips dans le téléfilm Romeo Killer: The Chris Porco Story.
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Miss N.2 : Adèle Haenel dans Suzanne
Suzanne (2013) de Katell Quillévéré
Née le 1 janvier 1989 à Paris, France.
Adèle Haenel est la fille d’une mère enseignante et d’un père traducteur. Elle commence sa carrière artistique en 2002, un peu par hasard et surtout poussée par ses parents. La jeune fille passe alors les essais pour le projet sombre et dramatique Les Diables de Christophe Ruggia, et on lui confie le rôle de Chloé. Elle se retrouve en tête d’affiche avec Vincent Rottiersqui fait aussi ses premiers pas dans le milieu. La comédienne consacrant également du temps à ses études de commerce, il faut attendre cinq ans pour la revoir au cinéma. Elle est Floriane, une nageuse et l’une des héroïnes deNaissance des pieuvres aux côtés de Pauline Acquart et Louise Blachère. Ce premier long métrage de Céline Sciamma met en scène la découverte de la sexualité par trois adolescentes. Le film est sélectionné dans nombre de festivals et Adèle Haenel est nominée pour le Meilleur jeune espoir aux Césars.
Par la suite, l’actrice joue dans une production suisse télévisée Déchaînées. Une fois encore, elle est le personnage principal d’un drame. Elle incarne Lucie, une jeune fille qui découvre des secrets de famille. Puis elle participe à un court-métrage, avant de revenir sur les écrans en 2011 avec trois gros projets. Dans Après le Sud, de Jean-Jacques Jauffret, Adèle Haenel est une caissière de grande surface, dans L’Apollonide de Bertrand Bonello, elle est Léa l’une des prostituées de la maison close, et dans En ville elle joue la meilleure amie de Lola Créton en pleine idylle avec un homme plus âgé qu’elle. Les trois films sont sélectionnés au Festival de Cannes 2011.
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Miss N. 3 : Michelle Pfeiffer dans LadyHawke, la femme de la nuit
LadyHawke (1985) de Richard Donner
Née le 28 avril 1958 à Santa Ana, Californie (Etats-Unis),
de son vrai nom Michelle Marie Pfeiffer, aussi connue sous le nom Michelle Pfeiffer.
Alors scolarisée au lycée de Fountain Valley, Michelle Pfeiffer découvre le théâtre et s’oriente finalement vers l’art dramatique en suivant une formation à Hollywood. A 20 ans, elle fait ses premiers pas à l’écran dans une série télévisée burlesque, Delta House. Dès lors, elle n’arrête pas de tourner dans des séries ou téléfilms et décroche le rôle de Stephanie Zinone, la chef des Pink Lady, dans la comédie musicale Grease 2 (1982), succédant à Olivia Newton-John. L’année suivante, elle est mariée à Tony Montana dit Scarface, dirigée cette fois par Brian de Palma. Elle change de registre dans le conte médiéval fantastique deRichard Donner ( Ladyhawke, la femme de la nuit) où elle combat une étrange malédiction qui la transforme en faucon et en aigle.
Après avoir repris forme humaine, la jeune femme marche à la baguette aux côtés de Susan Sarandon et Jack Nicholson dans Les Sorcières d’Eastwick, grâce auquel elle s’impose définitivement dans le cercle des actrices reconnues d’Hollywood. Si elle sait diversifier les genres en incarnant la veuve d’un truand rattrapée par les affaires malhonnêtes de son mari (Veuve mais pas trop), l’actrice propose une interprétation remarquée de Madame de Tourvel dans l’adaptation du roman épistolaire de Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereusesde Stephen Frears, victime volontaire d’une passion fatale avec le libertin John Malkovich.
Encouragée par une nomination à l’Oscar pour ce film, la comédienne continue au début des années 90, acquérant la reconnaissance de la critique (2 nominations à l’Oscar et plusieurs aux Golden Globe) et du public, avec des personnages aussi divers qu’une chanteuse de piano bar atypique ( Susie et les Baker Boys), ou dans la double peau d’une charmeuse de super-héros, mi-Selina Kyle mi-Catwoman dans Batman : le défi ( Tim Burton).
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Miss N. 4 : Jean Seberg dans A bout de souffle
A bout de souffle (1960) de Jean-Luc Godard
Née le 13 novembre 1938 à Marshalltown, Iowa (Etats-Unis),
de son vrai nom Jean Dorothy Seberg, décédée en septembre 1979 à Paris (France).
Jean Dorothy Seberg est une actriceaméricaine qui passa une partie importante de sa carrière en France. De son Iowa natal au Paris de la Nouvelle Vague, Jean Seberg a incarné un idéal féminin pour toute une génération. À la fois américaine et française, elle connaît son premier triomphe avec le personnage de Jeanne d’Arc, qu’elle incarne dans le film d’Otto Preminger. De ce moment-là, le destin de Jean Seberg est scellé. De Bonjour Tristesse, de Preminger et d’après Sagan, à À bout de souffle, de Godard et avec Belmondo pour partenaire, elle devient célèbre grâce à sa fraîcheur, sa beauté et sa spontanéité. Sa vie privée tumultueuse et son mariage avec Romain Gary ont fait d’elle, au-delà de la star, une figure de la vie culturelle des années 1960. Elle est parmi les premières actrices à prendre des engagements politiques pour faire entendre la voix des Noirs américains alors opprimés… Sa mort mal élucidée met un point final mystérieux à son existence.
Après l’université de l’Iowa, choisie parmi 18 000 candidates2, elle tourne son premier film en 1957, Sainte Jeanne, adaptation de la pièce Sainte Jeanne de George Bernard Shaw, sous la direction d’Otto Preminger, dans laquelle elle tient le rôle de Jeanne d’Arc. Dans la foulée, elle jouera dans Bonjour tristesse du même réalisateur. Ce remarquable coup de chance se présente comme une ouverture majestueuse pour une jeune fille que rien ne prédestinait au métier d’actrice. Elle est connue en tant qu’icône de la Nouvelle Vague, notamment grâce au film À bout de souffle (1960) de Jean-Luc Godard. Aux côtés de Jean-Paul Belmondo, elle y interprète Patricia Franchini, vendeuse de journaux (le Herald Tribune) sur les Champs-Élysées.
En 1969, elle apparaît dans son premier et seul film de comédie musicale, La Kermesse de l’Ouest (Paint your wagon), adapté d’un spectacle de Lerner et Lowe. Elle joue en compagnie de Lee Marvin et Clint Eastwood. Pour le chant, sa voix est doublée. Lilith est « le film » qui a influencé son « moi », tourné en 1964 par Robert Rossen, il est le plus révélateur de sa personnalité réelle. Dans les revues de l’époque, les critiques écriront « elle ne joue pas Lilith, elle est Lilith ». Pour les esthètes, ce film représente le couronnement de sa carrière. Elle est le premier choix de François Truffaut pour le rôle de Julie dans La Nuit Américaine mais après l’avoir sollicitée à plusieurs reprises et sans nouvelles, il décide de donner le rôle à Jacqueline Bisset. Son état mental à cette période est responsable de cette occasion manquée.
Suite et fin de la biographie sur wikipedia
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Miss N. 5 : Margot Robbie dans Le loup de Wall-Street
Le loup de Wall-Street – The Wolf of Wall Street (2013) de Martin Scorsese
Née le 2 juillet 1990 à Gold Coast, Australie.
IMAGES DE MARGOT
Cette jolie Australienne fait ses débuts de comédienne dans les films Vigilante et I.C.U., réalisés par Aash Aaron en 2008 et 2009. Elle tient en parallèle le rôle récurrent de Donna Freedman dans le soap Les Voisins et décroche deux nominations aux Logie Awards, équivalents australiens de nos 7 d’or. Elle quitte alors la série et son pays en 2011 pour tenter sa chance à Hollywood. Toujours pour la télévision, mais cette fois-ci américaine, elle incarne aux côtés de Christina Ricci une mignonnette hôtesse de l’air dans la série Pan Am. Faute d’audience, le feuilleton prend fin au bout d’une quinzaine d’épisodes. C’est en 2013 que sa carrière prend une autre tournure, puisqu’elle décroche un rôle dans Il était temps de Richard Curtis et surtout incarne Naomi Lapaglia dans Le Loup de Wall Street, biopic sur la vie du courtier en bourse Jordan Belfort, réalisé par Martin Scorsese.
Source : Allociné
SEP7IEME SENS ... BIS 
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