Les Pin-ups de Juin 2013
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Miss Juin 2013 : Mia Kirshner dans Exotica
Née le 25 janvier 1975 à Toronto (Canada).
Mia Kirshner est une actrice canadienne née le 25 janvier 1975 à Toronto (Ontario), d’un père journaliste et d’une mère enseignante d’origine bulgare. Elle a une petite soeur. Mia est née à Toronto, Ontario, elle est la fille d’Etti, une enseignante, et de Sheldon Kirshner, un journaliste qui écrit pour The Canadian Jewish News. Mia est la petite fille de survivants de l’Holocauste; son père est né dans un camp de réfugiés en Allemagne en 1946 et rencontra la mère de Mia, une réfugiés Juive Bulgare , en Israël. Mia a eu une éducation de classe moyenne et a étudié littérature Russe et l’industrie du cinéma du 20e siècle à l’Université McGill de Montréal. Elle a étudié la littérature russe et l’industrie cinématographique du XXe siècle à l’Université McGill de Montréal.
Elle aurait dû jouer le rôle de Sarah Logan dans la série télévisée D.C, mais le rôle a été réattribué à Kristanna Loken. En 1993, Mia joue une dominatrice dans LOVE AND HUMAN REMAINS de Denys Arcand et est nominée au Genie comme Meilleure Performance pour une Actrice de rôle secondaire. L’année suivante, elle est au casting de EXOTICA de Atom Egoyan. En 1996, elle apparait dans THE CROW : CITY OF ANGELS. Mia apparait dans les trois premiers épisodes de 24 en tant que l’assassin bisexuelle Mandy en 2001. Elle reprendra son rôle pour le final de la seconde saison et pour la dernière de la 4e saison du show. Aussi en 2001, Mia joue Catherine Wyler, la fille la plus cruelle de l’école, dans NOT ANOTHER TEEN MOVIE. Le personnage est principalement une parodie de Kathryn Merteuil (interprété par Sarah Michelle Gellar) dansCRUEL INTENTIONS, et partiellement basée sur Taylor Vaughn (interprété par Jodi Lyn O’Keefe) de SHE’S ALL THAT. Dans le vidéo-clip de Marilyn Manson « TAINTED LOVE », qui figure dans la BO du film, elle fait une brève apparition en tant que son personnage Catherine Wyler.
En 2004, Mia optient le rôle de l’écrivain Jenny Schecter, un des personnages principaux de la série THE L WORD pour 6 saisons jusqu’à 2009. En 2006, elle fait pertie du casting de THE BLACK DAHLIA de Brian De Palma, aux cotés de Josh Hartnett, Aaron Eckhart, Scarlett Johansson et Hilary Swank. Mia joue une jeune femme aspirant à devenir actrice, Elizabeth Short, qui est mystérieusement mutilée et assassinée en 1947. Elle a aussi dirigé le tournage d’un court métrage, VICTOR, montrant un drag queen à la recherche de l’amour dans un monde froid et très dur.
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Miss N.2 : Brigitte Bardot dans La vérité
Née le 28 septembre 1934 à Paris (France).
« Je t’aime totalement… tendrement… tragiquement », lui souffle Michel Piccoli dans Le Mépris, résumant en quelques mots la déclaration qu’aimeraient faire des millions d’admirateurs à celle qui a révolutionné l’image de la femme d’après guerre. Car Brigitte Bardot, au delà de sa carrière, finalement sans prétention, d’actrice et de chanteuse, a surtout été un sexe symbole d’une époque, une image de la femme moderne, avec ses coiffures sauvages et « choucroutes », sa moue éternellement boudeuse et son allure dégageant un érotisme candide. Lors de la sortie de Et Dieu créa… la femme, dans lequel elle étale son corps nu dans toute la largeur du cinémascope, choquant une grande partie du public,François Truffaut s’enthousiasmait d’« avoir vu sur l’écran un corps de femme de son temps, d’avoir lu le journal intime des gestes et des désirs d’une française de 1956 ».
Fille de bonne famille, BB commence à faire l’actrice au début des années 50 après une formation en danse classique. On la voit dans des comédies romantiques françaises, dans lesquelles elle joue déjà les jeunes filles modernes et libérées, comme dans Manina, fille sans voile, ou Futures vedettes, où elle conquiert le coeur de Jean Marais (et non l’inverse), des productions italiennes en costumes (le comique Les Week-end de Néron), et des films anglo-saxons, dans lesquelles elle s’occupe de l’interlude romantique ( Un Acte d’amour, avec Kirk Douglas, Doctor at sea, avec Dirk Bogarde). Mais sa carrière est véritablement lancée par son mari Roger Vadim, qui la recrée en star et icône en 1956 avec Et Dieu créa… la femme.
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Miss N. 3 : Audrey Hepburn dans Voyage à deux
Née le 4 mai 1929 à Ixelles (Belgique), de son vrai nom Audrey Kathleen Ruston,
décédée le 20 janvier 1993 à Tolochenaz (Suisse).
Audrey Hepburn, de son vrai nom Audrey Kathleen Ruston, nait d’un père banquier et d’une mère issue de la noblesse hollandaise. Après le divorce de ses parents, elle s’installe à Londres avec cette dernière, puis séjourne aux Pays-bas, à Arnhem. Quand la ville tombe sous l’Occupation nazie, la future idole d’Hollywood connait des temps difficiles, souffrant de dépression et de malnutrition.
Après la Libération elle intègre une école de danse à Londres et entame une carrière de mannequin. Sa grâce naturelle lui vaut un certain succès et elle pense avoir trouvé sa vocation – jusqu’à ce que le cinéma fasse irruption dans sa vie. En 1948, après avoir été repérée par un producteur, elle fait sa première apparition dans une comédie, Le Hollandais en sept leçons. En 1951 la jeune femme décroche un petit rôle dans la romance anglaise Young Wives’ tale d’ Henry Cass, où elle incarne Eve Lester. Mais, deux ans et quelques tournages plus tard ( Rires au paradis, Nous irons à Monte-Carlo), voyant que sa carrière stagne, l’actrice en herbe décide de partir tenter sa chance aux Etats-Unis. Là, elle accède immédiatement à la notoriété avec son premier film hollywoodien, Vacances romaines deWilliam Wyler, qui connaitra un franc succès. Son rôle de princesse qui s’encanaille avecGregory Peck lui vaut la reconnaissance de la profession.
Son physique gracile, qui contraste avec les standards plantureux de l’époque, n’est pas pour rien dans son fulgurant succès. Après Vacances romaines, l’actrice aux yeux de biche tourne l’année suivante dans Sabrina, une comédie de Billy Wilder où elle donne la réplique àHumphrey Bogart. Elle retrouve le réalisateur trois ans plus tard pour Ariane, où c’est cette fois Gary Cooper tombe sous son charme. La même année, elle interprète une jeune libraire new-yorkaise dans Drôle de frimousse réalisé par Stanley Donen, aux côtés de Fred Astaire.
Portrait de l’actrice sur Sep7ième sens
lien des photos de Terry O’Neil
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Miss N. 4 : Anne Baxter dans La splendeur des Amberson
Née le 7 mai 1923 à Michigan City, Indiana (Etats-Unis),
décédée en 1985 à New York City, New York (Etats-Unis).
Figure emblématique du cinéma américain et international des années 50, Anne Baxter, à l’aise dans tout type de film, a été l’une des actrices les plus demandées. Souvent mise au second plan, dans l’ombre d’une actrice plus belle, elle décrochera cependant le rôle principal dans « All about Eve », avant de se tourner vers la télévision. Petite fille du célèbre architecte Lloyd Wright, Anne Baxter révèle très vite avoir un don et des prédispositions naturelles pour la comédie. C’est à l’âge de 11 ans qu’elle déménage avec ses parent à New York, le centre dynamique du cinéma américain. Deux ans plus tard, elle fait ses débuts sur les planches et son succès lui permet de décrocher une place dans une école de théâtre réputée. A la découverte du cinéma !
A16 ans, Anne fera ses premiers essais cinéma pour Alfred Hitchcock, mais ce dernier la jugera trop jeune. Cet échec n’empêchera pas Anne d’obtenir un contrat en or avec la Fox. En 1941, Jean Renoir lui fait confiance en la faisant jouer dans son film, elle enchaînera alors les tournages et les rôles principaux. En 1946, sa performance dans le film « Le fil du rasoir », lui vaut un Oscar. Au fil des tournages, Anne multiplie les collaborations et affiche son talent dans des films très différents. Son aspect naturel lui permet d’être à l’affiche du Western « La ville abandonnées » de William Wellman aussi bien que de films d’action. Malgré son talent, certains lui refusent des premiers rôles, préférant des actrices plus esthétiques. Face à ces refus, Anne tente de séduire, utilisant son charme. Elle ne demeure pas moins l’actrice phare du cinéma d’auteur. Elle obtient le rôle principal du film culte « All about Eve », au côté de Bette Davis, ce qui lui vaudra une nouvelle nomination.
Suite et source de la biographie
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Miss N.5 : Jane Greer dans La griffe du passé
Né le 9 septembre 1924 à Washington, Dist. Columbia (Etats-Unis),
décédé en 2001 à Los Angeles, Californie (Etats-Unis).
D’abord chanteuse de Big band, Jane Greer est repérée en 1942 par Howard Hughes alors qu’elle pose pour le magazine Life et engagée à la RKO Pictures. Là, elle tourne notamment deux films aux côtés de Robert Mitchum, Pendez-moi haut et court (1947), avec un rôle de « femme fatale », et Ça commence à Vera Cruz(1949). Elle participe au long de sa carrière à vingt-huit films américains (de 1945 à 1996) ainsi qu’à dix-sept séries télévisées (de 1953 à 1990) et un téléfilm (en 1982). Observons qu’en 1952, dans l’un de ses films les plus connus, Le Prisonnier de Zenda, elle a notamment comme partenaire Robert Douglas, qu’elle retrouvera en 1975 dans un épisode de la série Columbo. Et en 1984, elle interprète la mère de l’héroïne dans le film Contre toute attente, remake de Pendez-moi haut et court. Pour sa contribution au cinéma, une étoile lui est dédiée sur le Walk of Fame d’Hollywood Boulevard. Son mari était l’homme d’affaires Edward Lasker avec qui elle a eu un fils, devenu producteur et scénariste, Lawrence Lasker.
SEP7IEME SENS ... BIS 
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