Les Pin-ups d’Août 2013
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Miss Août 2013 : Marine Vacht dans Jeune & jolie
Née le 9 avril 1991 à Paris, en France.
Comme son personnage dans « Jeune & Jolie », le film sulfureux de François Ozon, Marine Vacth est jeune, très jolie et trace son chemin avec une grâce teintée de mystère. Elle aurait dû naître il y a un siècle. Elle aurait pris son envol à une époque où les people n’existaient pas, où on ne demandait pas aux célébrités d’avoir leur mot à dire sur tout. Elle se serait épargné tous ces récits fictifs qui finissent par constituer, malgré soi, une identité dont il est si difficile de se défaire. L’actrice de « Jeune & Jolie » (sur les écrans le 21 août), révélée au dernier Festival de Cannes, est une funambule qui ne souhaite surtout pas être cernée.
Marine Vacth est impressionnante. Est-ce parce qu’elle est (encore) plus belle dans la vie qu’à l’écran ? Ou parce que ses yeux verts qui fixent l’interlocuteur lui donnent l’allure d’un animal apeuré, petit chat ébloui par les phares d’une voiture ? Si bien qu’on est obligée de s’excuser d’être là, et qu’on a envie de la rassurer, de lui dire que rien n’est grave, que son silence sera notre miel, qu’on est enchantée de ce moment de pause, et qu’elle a raison de se préserver, d’en dire et d’en montrer le moins possible. On lui avait proposé de choisir dans Paris un lieu qu’elle aime.
Elle a décliné et a élu l’endroit le plus neutre possible : le bureau des attachés de presse du film de François Ozon, où elle incarne une adolescente déroutante qui se prostitue comme on fumerait une clope en cachette. Mais ce choix de la neutralité lui ressemble. Elle est mince, en jean et haut noir, pas maquillée, sans l’ombre d’un chichi, pas de bijoux, ses cheveux longs et châtains, joliment dégradés, tombant sur ses épaules. Là encore, difficile d’être vêtue de manière plus neutre, et cette neutralité est comme un écrin qui met en valeur la perfection de sa peau, la lumière de ses yeux, et contraste avec l’étrangeté de son regard.
Dans « Jeune & Jolie », elle est donc Léa, jeune fille de 17 ans, d’une famille sans problèmes, élève à Henri IV. Léa, donc, qui par hasard, sans préméditation ni raison, opte pour la prostitution. Les billets s’amassent, planqués sous des vêtements, elle n’en fait rien. Aucun plaisir ne l’y pousse, hormis celui du rituel : changer de carte Sim, répondre aux invitations des textos, endosser le costume de circonstance – talons hauts, jupe droite, rouge à lèvres fort – pour se rendre dans une chambre d’hôtel, toujours la même. Toute la réussite du fi lm est de n’offrir aucune prise sur ce qui pousse cette jeune fille à vendre son corps.
Marine dit qu’elle n’a pas d’hypothèse sur le comportement de Léa, qu’elle lui est mystérieuse, et que le personnage lui-même ignore ses mobiles. « Après avoir lu le scénario, en discutant avec François Ozon, je me suis aperçue que ça m’intéressait de jouer une jeune fille qui a besoin de se heurter à quelque chose de violent, pour savoir qui elle est et où sont ses limites. Le film n’est pas moralisateur. » Et aussi, plus tard : « Dans un sens, je comprends Léa. Je comprends qu’on puisse avoir besoin de mouvements brutaux dans une vie. De se violenter pour exister. Je comprends aussi qu’elle ait besoin d’une double vie, dont l’une complètement clandestine. » Marine pense que Léa est un personnage éternel. Mais elle dit aussi qu’il y a une banalisation des actes sexuels. On lui demande : « Vous croyez que Léa fait l’amour comme elle dit bonjour ? » Marine se ravise : « Elle est surtout comme anesthésiée.
Il lui en faut beaucoup pour ressentir quoi que ce soit. Je n’ai pas sa liberté avec mon corps. » Les scènes de passe ont été moins difficiles qu’elle ne le pensait : « J’ai très peu d’expérience. J’ai découvert, dans un même élan, cette jeune fille et que je pouvais jouer. Le film m’a confirmé que je voulais être actrice. Et le tournage était très joyeux. » Dans une première vie, Marine était mannequin (elle a d’ailleurs posé pour nous). Elle avait 15 ans, était dans un magasin, quand elle a été remarquée. « J’ai fait très peu de castings et ça m’a protégée.
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Miss N. 2 : Alexa Davalos dans Les chroniques de Riddick
Née le 28 mai 1982 à Paris (France),
de son vrai nom Alexa Davalos Dunas, aussi connue sous le nom Alexa Davalos.
Actrice franco-américaine, elle est la fille du photographe Jeff Dunas et de l’actrice Elyssa Davalos, et la petite-fille de l’acteur Richard Davalos qui joua aux côtés de James Dean dans À l’est d’Éden.
Alexa Davalos a passé une grande partie de son enfance dans le sud de la France, mais aussi en Italie aux côtés de ses parents. Elle commence alors sa carrière dans le mannequinat mais préfère se tourner vers le monde du cinéma. Elle débute en tant qu’actrice en faisant une petite apparition dans la série intitulée Les Années campus. Puis, elle se fait connaître du grand public grâce à son interprétation dans Angel, dans le rôle de la sexy, mais surtout électrique Gwen Raiden… Elle y fera trois apparitions. En 2002, elle tourne dans le court-métrageThe Ghost of F. Scott Fitzgerald dans le rôle de Bess Gunther et tourne l’année suivante aux côtés d’Antonio Banderas dans le téléfilm Pancho Villa.
Après plusieurs rôles de série TV, elle se fait connaître au cinéma en interprétant le personnage de Kyra dans Les Chroniques de Riddick avec Vin Dieselcomme partenaire. En 2007, elle tourne sous la direction de Frank Darabont (La Ligne Verte) dans The Mist, adaptation de la nouvelle Brume de Stephen King, aux côtés notamment de Thomas Jane, Marcia Gay Harden et Laurie Holden. En 2008, elle interprète Lilka, une réfugiée juive, dans Les Insurgés, avec Daniel Craig. En 2010, elle est engagée aux côtés de Sam Worthington et Liam Neeson pour jouer le personnage d’Andromède dans Le Choc des titans de Louis Leterrier. En 2013, elle retrouve le réalisateur Frank Darabont avec la série L.A. Noir.
Source : wikipédia
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Miss N. 3 : Marie Gillain dans Landes
Née le 18 juin 1975 à Rocourt (Belgique).
Marie Gillain est fille de journaliste. Passionnée très tôt par les arts, elle prend des cours de danse et de comédie puis intègre une troupe de théâtre amateur à 14 ans. Elle passe des essais pour L’Amant, mais n’est pas retenue. La révélation vient en 1991, lorsqu’elle incarne la fille de Gérard Depardieu dans Mon Père ce héros, et est nommée pour le César du meilleur espoir féminin.
En 1993, elle fait un détour par la télévision dans Un Homme à la mer de Jacques Doillon, puis revient au cinéma dans le rôle principal de L’Appât de Bertrand Tavernier, tiré d’un fait divers dans lequel deux garçons et une fille assassinent des hommes pour réunir dix millions de francs. Sa prestation d’adolescente à la dérive lui vaut le prix Romy Schneider en 1996. L’actrice fait également des débuts remarqués au théâtre dans Le Journal d’Anne Frank. Forte tête, Gillain ne se démonte pas face aux plus grands, Isabelle Huppert dans Les Affinités électives et Daniel Auteuil dans Le Bossu, succès public.
A partir de 1998, elle tourne presque tous les ans. Dans Le Dîner d’ Ettore Scola, elle est entourée de légendes ( Fanny Ardant, Vittorio Gassman). Avec Le Dernier Harem, elle continue sa plongée dans le cinéma d’auteur, puis revient vers des films grand public, comme Barnie et ses Petites Contrariétés, en maîtresse énervée, ou Absolument fabuleux, adaptation de la série anglaise. Marie Gillain retrouve Bertrand Tavernier pour Laissez-passer, récit de la lutte de deux résistants, puis rejoint l’équipe de Ni pour, ni contre (bien au contraire), polar de Cédric Klapisch. A la même époque, Gillain remonte sur les planches pour Hystéria, avec Vincent Elbaz et Pierre Vaneck sur une mise en scène de John Malkovich.
L’actrice, enceinte, ralentit la cadence en 2004 et ne tourne que Tout le Plaisir est pour moi, où elle campe une jeune femme frigide. Après L’Enfer, l’histoire de trois soeurs traumatisées dans leur enfance, la comédienne abandonne le tournage de Holy Lola, de Bertrand Tavernier(qui donnera le rôle à Isabelle Carré). 2007 marque son retour sur grand écran avec quatre films : Pars vite et reviens tard, adaptation du roman de Fred Vargas, Fragile(s), où six inconnus se croisent au Portugal, Ma Vie n’est pas une comédie romantique, qui est pourtant une vraie comédie romantique avecGilles Lellouche et La Clef, polar noir de Guillaume Nicloux. L’année suivante, elle incarne une résistante dans le film de Jean-Paul Salomé Les Femmes de l’ombre.
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Miss N. 4 : Alice Braga dans Elysium
Née le 15 avril 1983 à Sao Paolo (Brésil).
Nièce de Sonia Braga, Alice Braga est une actrice reconnue au Brésil. C’est en 2003, grâce à son rôle dans le film choc La Cité de Dieu, qu’elle se fait mondialement connaître. Après un rôle dans le drame romantique Bahia, ville basse de Sérgio Machado (prix de la jeunesse au Festival de Cannes 2005), elle entame sa carrière internationale en donnant la réplique à Will Smith dans le blockbuster Je suis une légende, qui engendra pas loin de 600 millions de dollars de recettes dans le monde.
Forte de ce succès, l’actrice enchaîne l’année suivante avec Redbelt et Blindness (dans lequel elle retrouve Fernando Meirelles, le réalisateur de La Cité de Dieu), deux films qui n’ont pas bien marché au box office, ce qui ne l’empêche pas de décrocher, en 2010, trois rôles dans trois films très attendus : Droit de passage, un film choral sur fond d’immigration clandestine aux Etats-Unis avec Harrison Ford et Ray Liotta, Predators, la suite de Predator et Predator 2 dans lequel elle tient le seul rôle féminin, et Repo Men, un autre film de science-fiction où elle côtoie Jude Law etForest Whitaker.
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Source : Toutleciné, Allociné
RETOUR AUX FILMS D’AOÜT 2013
Les Pin-ups de Juillet 2013
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Miss Juillet 2013 : Emily Blunt dans My summer of love
Née le 23 février 1983 à Londres (Angleterre),
de son vrai nom Emily Olivia L. Blunt.
Fille d’une enseignante et d’un avocat, Emily Blunt grandit dans une famille de quatre enfants. A l’âge de 8 ans, elle souffre de bégaiements. Sa mère l’emmène à des cours de relaxation qui ne changent rien. Puis, à 12 ans, un de ses professeurs lui demande de jouer un personnage en modifiant sa voix et ajoute « j’ai confiance en toi ». La jeune anglaise choisit de jouer en prenant un accent du nord et son bégaiement disparaît.
De 1999 à 2001, l’adolescente étudie à Hurtwood House et se montre très douée en sport et en chant. Elle prend également des cours de théâtre. En 2000, Emily Blunt est choisie pour se produire au Festival d’Edinbourgh et est repérée par un agent. La jeune comédienne va alors jouer dans différentes pièces et apparaître dans des fictions télévisées. A dix-huit ans, l’actrice interprète sur scène Gwen Cavendish dans « The Royal Family », face à Dame Judi Dench, au Haymarket Theater. Ce rôle lui vaut de remporter le Evening Standard Award du meilleur espoir.
A la télévision, la comédienne se fait remarquer dans Boudica (2003) avec Alex Kingston. Et l’année suivante, Blunt est acclamée par la critique pour son interprétation d’une jeune fille bien éduquée et cynique qui tombe amoureuse d’une jeune fille ( Nathalie Press) d’un milieu populaire, dans le drame My Summer of love. En 2005, Susan Sarandon, qui a vu My Summer of love, demande à ce que la jeune comédienne auditionne pour le rôle de Mara, une jeune femme destructrice, dans le film australien Irresistible. Emily Blunt y fait une performance remarquable. Puis, l’actrice remporte un Golden Globe pour son rôle de Natacha, la fille perturbée de Bill Nighy dans le téléfilm britannique Gideon’s Daughter.
En 2006, Blunt est l’assistante désagréable puis délaissée de Meryl Streep dans la comédie de David Frankel, Le Diable s’habille en Prada. Streep dira à son propos qu’elle est la plus douée des jeunes actrices avec qui elle ait travaillé. Son rôle d’Emily dans cette adaptation à succès du best-seller de Lauren Weisberger, assoit sa notoriété internationale. L’année suivante, l’actrice tourne le thriller d’horreur Wind Chill; le drame romantique Jane Austen Book Club avec Amy Brenneman et Hugh Dancy; et apparaît dans la comédie romantiqueCoup de foudre à Rhodes Island avec Steve Carell et Juliette Binoche. Emily Blunt est également à l’affiche de La Guerre selon Charlie Wilson, tout comme Amy Adams, qu’elle retrouve en 2008, dans le film indépendant Sunshine Cleaning. Les deux comédiennes interprètent deux soeurs montant une entreprise de nettoyage de scènes de crime.
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Miss N.2 : Rinko Kikuchi dans Pacific Rim
Née le 6 janvier 1981 à Kanagawa (Japon).
Rinko Kikuchi était déjà célèbre au Japon avant d’être propulsée sur la scène internationale en 2006 avec BABELd’Alejandro González Iñárritu. Son rôle polyvalent de l’adolescente sourde et muette lui permet en effet de décrocher une nomination aux Oscars, ainsi que des nominations aux Golden Globes, aux Screen Actors Guild Awards, et aux Critics’ Choice Awards dans la catégorie de la meilleure actrice dans un second rôle. Elle remporte en outre le National Board of Review Award du meilleur espoir féminin, et partage avec les autres comédiens une nomination aux Critics’ Choice Awards et SAG Awards pour la meilleure distribution.
Après son succès dans BABEL, Rinko Kikuchi a interprété des rôles remarquables, notamment dans UNE ARNAQUE PRESQUE PARFAITE, CARTE DES SONS DE TOKYO et LA BALADE DE L’IMPOSSIBLE, inspiré du succès de librairie d’Haruki Murakami. Elle jouera prochainement aux côtés de Keanu Reeves dans 47 RONIN, version hollywoodienne d’une ancienne légende samouraï dont la sortie est prévue en décembre 2013.
Rinko Kikuchi a fait ses premiers pas au cinéma en 1999 dans le film japonais IKITAI (Envie de vivre). On l’a également aperçue dans d’autres longs-métrages nippons comme HOLE IN THE SKY et THE TASTE OF TEA. Elle mène de front une carrière dans la mode, posant notamment pour Chanel, Yves Saint Laurent et Tom Ford et figurant dans de nombreux magazines tels que Vogue, T Magazine et Harper’s Bazaar. Elle a récemment joué dans PACIFIC RIM de Guillermo del Toro.
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Miss N. 3 : Nastassja Kinski dans Paris, Texas
Née le 24 janvier 1959 à Berlin (Allemagne),
de son vrai nom Nastassja Aglaia Nakszynski, aussi connue sous le nom Nastassja Kinski.
Nastassja Kinski est la fille du comédien Klaus Kinski et de l’écrivain Ruth Brigitte. Elle perd contact avec son père à l’âge de dix ans, lorsque celui-ci et sa mère se séparent. Dans la partie Ouest de Berlin, Nastassja Kinski connaît une adolescence turbulente. Elle reste ainsi cinq jours derrière les barreaux pour avoir fraudé à plusieurs reprises dans les transports publics. Assagie, elle achève ses études à Rome, Munich et Caracas avant de suivre les cours d’art dramatique de l’Actor’s Studio.
Après des débuts discrets dans Faux mouvement de Wim Wenders et dans Une fille… pour le diable, un ersatz de L’exorciste, elle connaît la gloire et se fait un prénom en vampantMarcello Mastroianni dans La fille. Mais c’est le rôle-titre de Tess, sous la direction de Roman Polanski, à l’époque son compagnon et son mentor, que Nastassja Kinski révèle toute l’étendue de son talent. Le véritable départ d’une carrière internationale. Polyglotte (elle parle couramment l’anglais, l’allemand, le français, l’italien et le russe), elle collabore avec les plus grands cinéastes dans les registres les plus divers. De la comédie musicale Coup de cœurde Francis Ford Coppola à l’action grand public de Terminal velocity en assant par la comédie ( Susan a un plan), le fantastique ( La féline) et la satire sociale ( Entre amis et voisins), Nastassja Kinski s’adapte à tous les domaines, ne rechignant jamais à s’engager dans des personnages qui ne figurent pas en tête d’affiche.
Connue pour sa beauté et son talent, Nastassja Kinski l’est également pour une vie sentimentale qui lui vaut fréquemment de défrayer la chronique des tabloïds. Mariée, elle ne l’a cependant été qu’à deux reprises. D’abord avec l’homme d’affaires égyptien et producteur Ibrahim Moussa et ensuite avec le musicien Quincy Jones. Trois enfants, deux filles et un garçons, naissent des deux unions. Nastassja Kinski compte également parmi les fervents soutiens de la Croix Rouge Internationale tant qu’à titre moral que financier.
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Miss N. 4 : Charlotte Lebon dans Le grand méchant loup
Née le 4 septembre 1986 à Montréal, au Canada.
Fille de Richard Le Bon, elle tombe rapidement dans le bain du cinéma et de la télévision avec sa mère l’actrice québécoise Brigitte Paquette et son beau-père Frank Schorpion. A 16 ans, elle se lance dans l’aventure du mannequinat et passe son temps entre la France et le Canada. On la découvre alors dans des publicités de parfum comme Lolita de Lolita Lempicka ou Incredible Me d’Escada. Elle pose également pour Naf-Naf, Garnier, Carte Noire ou pour la collection bain de la marque Shan. Elle est repérée en 2010 par Canal+ et devient, jusqu’en juin 2011, la nouvelle et détonante Miss météo du Grand Journal, en remplacement de Pauline Lefèvre. En plus de sa prestation lors de la météo quotidienne sur Canal+, elle poursuit sa carrière de mannequin en devenant l’égérie de la marque Zara. Lors de la saison 2011-2012 du Grand Journal, on la retrouve chaque vendredi aux côtés d’Alex Lutz, Bruno Sanchez et Raphaël Cioffi dans le programme court “L’Envers du Décor”. La pétillante Charlotte Le Bon fait également parler d’elle en tant qu’illustratrice en collaborant notamment avec le site Spank-Magazine.
En 2012 elle est élue femme de l’année par le magazine GQ. 2013 est une année faste pour Charlotte puisque qu’on la retrouve à l’affiche de 3 films : “L’Écume des jours” de Michel Gondry, “Le Grand méchant loup” de Nicolas & Bruno et “La Marche” de Nabil Ben Yadir.
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Miss N.5 : Florinda Bolkan dans Le venin de la peur
Née le 15 février 1941, à Uruburetama, état du Céara, Brésil,
de son vrai nom Florinda Soares Bulcao, aussi connue sous le nom de Florinda Bolkan.
Florinda Bolkan est une actrice brésilienne, dont la carrière s’est déroulée principalement en Italie. Florinda Bolkan a tourné dans plus de cinquante films et a été dirigée par des réalisateurs célèbres, tels que Luchino Visconti, Elio Petri,Lucio Fulci, Vittorio De Sica, Giuseppe Patroni Griffi, Damiano Damiani, Richard Lester ou Michael Hoffman. Sa beauté légendaire a sans doute évincé ses prestations.
Source : wikipédia
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Source : Toutleciné
RETOUR AUX FILMS DE JUILLET 2013
Les Pin-ups de Mai 2013
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Miss Mai 2013 : Jennifer Connelly dans The hot spot
Née le 12 décembre 1970 à Catskill Mountains, New York (Etats-Unis),
de son vrai nom Jennifer Lynn Connelly, aussi connue sous le nom Jennifer Connelly.
C’est à l’âge de dix ans que Jennifer Connelly débute dans le monde du spectacle après que ses parents, sur les conseils d’un ami, l’ inscrivent dans une agence de mannequin pour enfant. La fillette enchaîne dès lors spots publicitaires et séances de photos, avant queSergio Leone ne la retienne pour tenir le rôle de l’amour d’enfance de Robert de Niro dans Il était une fois en Amérique. Passant du monde fantastique de Dario Argento, Phenomena, à celui de Jim Henson dansLabyrinthe, Jennifer Connelly limite, à l’aube de sa majorité, ses apparitions à l’écran pour se consacrer à des études qu’elle mène dans les prestigieuses universités de Yale et Stanford. Son premier rôle adulte, celui d’une innocente perverse, elle le décroche avec Hot spot sous la direction de Dennis Hopper.
La comédienne ne cesse jamais de tourner, elle affirme toute l’étendu de son talent en incarnant des rôles de femmes intelligentes et torturées, sa prestation d’idéaliste paumée et droguée du dramatique Requiem for a dream, son rôle de mère éplorée dans Reservation road, ou encore son interprétation d’épouse de Russell Crowe dans Un homme d’exception(qui lui vaudra l’Oscar du Meilleur Second Rôle Féminin) ne cesse de porter la jeune fille au rang des actrices de choix.
Portrait de l’actrice
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Miss N. 2 : Mia Wasikowska dans Stoker
Née le 14 octobre 1989 à Canberra (Australie).
Née d’une mère polonaise, Marzena Wasikowska, photographe et d’un père australien, John Reid, peintre et collagiste, Mia Wasikowska est née le 14 octobre 1989 et commence sa carrière artistique comme danseuse de ballet, de 9 ans à 15 ans. En avril 2010, dans Phosphore, elle raconte : « Quand j’en ai eu marre, j’ai arrêté. La danse, c’était devenu très intense, physiquement et émotionnellement : j’en faisais 30 à 35 heures par semaine – c’est à ce niveau-là que je voulais en faire. Mais arrivé à un certain point, cela devient une quête de perfection. Vous recherchez uniquement le corps parfait. L’enseignant souligne ce qui ne va pas chez vous, plutôt que ce qui va bien. Cela a commencé à me saouler. Mais j’avais besoin d’une expression artistique, alors j’ai voulu essayer le jeu d’actrice pour être connectée à un autre niveau. Et je crois que j’ai bien fait : cela me correspond mieux. En jouant, on est plus dans la vie, l’imperfection, le cradingue même. Et j’aime ça, ce côté réaliste… ».
Mia a une grande sœur et un petit frère. Pendant son enfance, sa famille a beaucoup voyagé en Europe. En 1998, à l’âge de 8 ans, Mia a notamment vécu un an à Szczecin, en Pologne. Pendant son temps libre, Mia s’adonnait beaucoup à la photographie. Mais elle décide vite de s’orienter vers la comédie. Elle est en couple avec l’acteur Jesse Eisenberg, rencontré sur le tournage du film The Double sorti en 2013. En 2004, elle obtient son premier rôle dans la série All Saints, puis découvre le cinéma en s’illustrant notamment dans Le Feu sous la peau et le film d’horreur Solitaire.
En 2008, Mia Wasikowska est remarquée aux États-Unis grâce à son rôle d’adolescente en détresse dans la série HBO En analyse. Une performance qui lui vaut ensuite de jouer dans des longs métrages ambitieux comme Les Insurgés, aux côtés de Daniel Craig, et Amelia, où elle donne la réplique à Hilary Swank. Mais c’est en juillet 2008 que la jeune femme voit sa carrière prendre un nouvel essor : en effet Tim Burton la choisit pour incarner Alice Kingsley dans son Alice au Pays des Merveilles. Le blockbuster sort en 2010 et remporte un important succès, dépassant le milliard de dollars de recettes dans le monde. Les critiques concernant le film sont néanmoins très mitigées.
Malgré cette réussite commerciale, la jeune actrice se consacre à l’interprétation de rôles complexes : elle participe ainsi à des films indépendants très remarqués : la comédie dramatique Tout va bien ! The Kids Are All Right où elle joue aux côtés d’Annette Bening, Julianne Moore et Mark Ruffalo (le film sera nommé aux Golden Globes et aux Oscars 2011). Puis, en 2011, on la découvre en jeune femme amoureuse et malade dans le drame Restless, de Gus Van Sant. À nouveaux, ces deux films sont salués par la critique, Restless faisant forte impression au Festival de Cannes où il est sélectionné dans la catégorie Un certain Regard.
Les années suivantes, elle continue de tourner sous la houlette de réalisateurs confirmés et talentueux comme Park Chan-Wook (Stoker), Jim Jarmusch (Only lovers left alive) ou David Cronenberg pour Maps to the Stars, film sélectionné à Cannes 2014 en compétition officielle et pour lequel la jeune actrice retrouve Julianne Moore. À chaque fois, elle a la possibilité de s’épanouir face à de grands comédiens comme Michael Fassbender (Jane Eyre), Glenn Close (Albert Nobbs), Nicole Kidman et Matthew Goode(Stoker), Tilda Swinton et Tom Hiddleston (Only Lovers Left Alive) ou encore Julianne Moore, John Cusack et Robert Pattinson (Maps to the Stars).
En revanche, un film dont elle tient le premier rôle reste inédit en France : le biopic australien Tracks de John Curran, où elle prête ses traits à Robyn Davidson, et sorti dans le reste du monde en 2013. Fin 2015, elle est l’héroïne du film fantastique de Guillermo del Toro, Crimson Peak, où elle côtoiera de nouveau Tom Hiddleston ainsi que Jessica Chastain. Et en 2016, elle retrouvera le rôle d’Alice Kingsley pour le blockbuster Alice de l’autre côté du miroir, cette fois sous la direction du britannique James Bobin.
Source : wikipedia
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Miss N.3 : Diane Lane dans Cotton Club
Née le 22 janvier 1965 à New York City, New York (Etats-Unis).
Diane Lane est la fille du professeur d’art dramatique Burt Lane et de la chanteuse Colleen Farrington. Elle tient son premier rôle professionnel à 6 ans dans la version de « Médée » parAndrei Serbian au théâtre expérimental La Mama. Elle joue ensuite avec la compagnie pendant cinq ans. Après s’être produite dans « La Cerisaie » et « Agamemnon » sous la direction de Joseph Papp en 1976 et 1977, elle est choisie par le réalisateur George Roy Hillpour jouer face à Sir Laurence Olivier dans I Love You, Je t’aime. Elle n’a que 13 ans. En 1983, alors âgée de 18 ans, elle est remarquée par Francis Ford Coppola qui lui offre deux rôles dans Outsiders et Rusty James. La comédienne arpente Les rues de feu de Walter Hillavant de retrouver celui qu’on peut légitiment appeler son mentor pour Cotton Club. Elle enchaîne ensuite avec des petits productions notamment Love Dream où elle fait la connaissance de Christophe Lambert destiné à être son époux, du moins jusqu’à leur divorce en 1994. Entre temps, le couple s’affiche dans le thriller Face à Face (1992).
Cantonnée la majeure partie du temps dans des seconds rôles, Diane Lane démontre toutefois ses grandes capacités d’actrices cours des années 90, où elle donne la réplique à de nombreuses stars: elle est Paulette Goddard dans le biopic Chaplin (1992) de Richard Attenborough, joue dans le western Wild Bill avec Jeff Bridges (elle retrouve pour l’occasion le réalisateur Walter Hill) et fait la loi aux côtés de Sylvester Stallone dans le futuriste Judge Dredd (1995). Ensuite elle retrouve Francis Ford Coppolla pour interpréter la mère du grand enfant Robin Williams dans Jack. Après avoir côtoyée Richard Dreyfuss, Jeff Goldblum, Burt Reynolds… dans la comédie criminelle Mad Dogs, elle mène une enquête sur un Meurtre à la Maison-Blanche aux côtés de Wesley Snipes.
Femme aimante de Mark Wahlberg dans En pleine tempête (2000), femme angoissée deStellan Skarsgârd dans le thriller La Prison de verre (2001), ou femme Infidèle (2002) deRichard Gere (son partenaire de Cotton Club), Diane Lane compose tout une séries de personnages féminins forts qui l’impose un peu plus à Hollywood, et ce malgré une quarantaine presque atteinte (âge où dans le milieu, les rôles commencent à se faire plus espacés). En démontre sa première nomination remarquée à l’Oscar de la Meilleure Actrice pour le film d’ Adrian Lyne. Elle joue ensuite dans Hollywoodland (2006) d’ Allen Coulter aux côtés d’ Adrien Brody, Ben Affleck et dans Jumper (2008) de Doug Liman.
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Miss N. 4 : Juliette Binoche dans L’insoutenable légèreté de l’être
Née le 9 mars 1964 à Paris (France).
Nombreuses sont les actrices françaises qui rêvent d’une carrière internationale tout en étant reconnues dans leur pays pour leurs talents, mais rare sont celles qui arrivent vraiment à mener cette double vie avec succès. Juliette Binoche est de celle-là : elle parvient à concilier des choix de carrière risqués avec de grands metteurs en scène européens, tout en étant connu et reconnu aux Etats-Unis. En 1995, elle est ainsi la seconde actrice française, aprèsSimone Signoret, à avoir reçu un Oscar pour Le Patient anglais sous la direction d’ Anthony Minghella.
Passionnée de théâtre et de peinture, elle consacre sa jeunesse à ses deux passions avant de faire le choix de devenir comédienne. Son bac en poche, elle s’inscrit au conservatoire national d’art dramatique, et fait quelques courtes apparitions au cinéma tout en continuant d’exercer divers petits boulots. On la croise rapidement dans Je vous salue, Marie, mais c’est moins Godard que Téchiné qui révèle le talent de l’actrice dans Rendez-vous en 1985. Elle est dans ce film fiévreux d’un naturel désarmant, et donne à son personnage d’actrice perdue dans la capitale une grâce et une sorte d’innocence éthérée, qui caractérise nombre de ses compostions. Sa rencontre avec Léos Carax bouleverse la carière de l’actrice comme le cinéma du réalisateur. Elle devient sa muse et il la fait d’abord jouer dans le sophistiquéMauvais sang, avant de lui proposer l’aventure romantique des Amants du Pont-Neuf, qui monopolise l’énergie de Binoche pendant près de trois ans.
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